Dessins à la laque
L’espace blanc, libre – la surface blanche. Le bâton d’acier noir – la ligne noire d’une largeur constante, inscrivant dans l’espace des fragments de mouvement imaginé, comme une sorte de code. La nécessité de mouvements saccadés se manifeste comme le séismographe de ma pensée physique, à l’interface de la liberté aléatoire absolue et du calcul rationnel. Le dessin n’est pas au service de la sculpture, c’est un partenaire indépendant, sur un pied d’égalité.